• Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Roman d'Arthur Ténor

    2007

    Première Guerre mondiale

    CDI : 1 exemplaire

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Avis de Zoé :

    Maximilien, un jeune homme de 15 ans qui rêve de devenir journaliste vit à Paris durant les débuts de la Première Guerre mondiale. Après seulement quelques semaines de guerre, Max décide de se porter volontaire afin de pouvoir décrire la vie des poilus dans les tranchées, et pouvoir écrire des articles pour les journaux parisiens. Il va découvrir toutes sortes de vérités sur la guerre et sur la vie des soldats. 

     

    J'ai beaucoup aimé ce livre car il est facile à lire et car on découvre avec plus de précisions le quotidien des vétérans dans les tranchées et lors des assauts. On découvre grâce à ce livre que certains liens particuliers pouvaient se créer entre les poilus.

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

     

     

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    Avis de Cem :

    J'ai bien aimé ce livre parce qu'il y a de l'action et de la tristesse en même temps. Ce livre m'a plu car le personnage principal a quinze ans et va en direction du front donc on se sent à sa place.
    Je n'ai pas d'avis négatif sur ce livre.    

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

     

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    Avis d'Enzo :

    J'ai bien aimé ce livre car il raconte vraiment l’histoire d'un jeune homme de 15 ans appelé Maximilien qui raconte comment se passe la guerre sur un journal car il s'est promis de devenir grand journaliste.

    Maximilien, dit Max, 15 ans découvrit qu'il y allait avoir une revanche contre les Allemands. Il vit, dans une vitrine, des carnets et se dit : "Si je tenais un journal". Sur ce journal il allait marquer ce qui agitait sa vie comme la mobilisation.

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans

    Mémoire à vif d'un poilu de quinze ans